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EN

LES DÉPENSES DES RÉGIMES CANADIENS D’ASSURANCE-MÉDICAMENTS RELATIVES AUX MÉDICAMENTS SPÉCIALISÉS, Y COMPRIS LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES, CONTINUENT D’AUGMENTER1,2

Les médicaments biologiques représentaient trois des cinq classes de médicaments associées aux dépenses les plus importantes des régimes publics d’assurance-médicaments en 20181

Médicaments biologiques3

  • Ils proviennent d’organismes vivants ou de leurs cellules.

  • Ils servent à traiter divers états pathologiques, y compris l’anémie, le diabète, les maladies intestinales inflammatoires, le psoriasis, la polyarthrite rhumatoïde, des déficits hormonaux et certaines formes de cancer.

  • De façon générale, les médicaments biologiques sont plus vastes et complexes que les médicaments pharmaceutiques chimiques.

Médicaments biosimilaires3

  • Un médicament biologique similaire, ou biosimilaire, est un médicament qui s’avère très semblable à un médicament biologique dont la vente a déjà été autorisée (connu sous le nom de médicament biologique de référence).

  • Ils peuvent faire leur entrée sur le marché une fois que les brevets et les protections des données du médicament biologique de référence sont expirés.

  • On ne prévoit aucune différence cliniquement significative sur le plan de l’efficacité et de l’innocuité entre un biosimilaire et le médicament biologique dont la vente a déjà été autorisée.

En 2018, les MÉDICAMENTS SPÉCIALISÉS*, notamment les médicaments biologiques de marque
et les biosimilaires, REPRÉSENTAIENT 29 % DES COÛTS DES MÉDICAMENTS pour les régimes privés2.

* Définis comme des médicaments dont le coût est supérieur à 10 000 $ par an.
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